La mise en œuvre du Great Reset est consécutive à l'état de pourrissement intégral du capitalisme financier maintenu sous perfusion depuis plus de 10 ans à coups d'injections de dizaines de milliers de milliards de dollars dans les circuits bancaires. Le capitalisme financier repose sur le dévoiement du cycle traditionnel...
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Qu’est-ce que le Great Reset ?

La mise en œuvre du Great Reset est consécutive à l'état de pourrissement intégral du capitalisme financier maintenu sous perfusion depuis plus de 10 ans à coups d'injections de dizaines de milliers de milliards de dollars dans les circuits bancaires. Le capitalisme financier repose sur le dévoiement du cycle traditionnel et sain de l’argent dans lequel l’argent n’est qu’un instrument pour faciliter les échanges et l’acquisition de biens au service de la justice distributive ( Cycle M-A-M : marchandise-argent-marchandise). Le capitalisme financier subvertit ce cycle : par lui l’argent devient la finalité du système ( cycle : A-M-A : argent – marchandise- argent. C’est le cycle de la chrématistique). Tout se vend, même l’argent, qui devient une marchandise, d’où le prêt à usure systématisé. Comme l’argent a raison de fin, les acteurs économiques majeurs vont mettre la main sur sa production qui relève normalement d'un droit régalien. En se faisant rembourser l'argent qu'ils produisent ex nihilo avec intérêt, ils instituent un processus dans lequel les dettes ne sont pas résorbables, ce qui concentre les richesses entre les mains d'un nombre toujours plus restreint de prédateurs, puisqu’il faut emprunter pour rembourser et par conséquent toujours davantage creuser la dette. Aristote a expliqué ce cycle de la chrématistique il y a plusieurs milliers d'années déjà et Marx n'a fait qu'adapter les principes de fond de son analyse au monde industriel. Or l’annexion de toute la société aux intérêts du capital, qui est caractéristique de la société moderne, nécessite une extension toujours plus accentuée de la sphère marchande. Non seulement tous les marchés doivent s'unifier (l’OMC et tous les traités de libre échange y veillent), mais de nouveaux marchés doivent s'ouvrir sans cesse, même aux domaines qui répugnent le plus à l'échange marchand. Pour justifier cette extension de la logique marchande à tout (au ventre des femmes, à la santé, au génome du vivant, aux biens les plus essentiels comme l'eau etc) il faut que le capitalisme financier ( libéralisme dérégulé) s'accompagne d'une déconstruction idéologique culturelle des repères moraux traditionnels, c'est là le rôle du travail de sape de l'idéologie des droits de l'homme abstraits et de l'appareil de propagande médiatico-étatique qui la porte ainsi que des institutions ( système éducation, système universitaire de reproduction des élites) qui fournissent en personnel l'appareil de propagande médiatico-étatique. Guy Debord appelait ce dernier "l'industrie du spectacle" par laquelle tout se transforme en simulacre et artifice et où le vrai lui-même « n’est qu’un moment du faux ». Le rôle de l’idéologie est de produire une dogmatique, de la marteler en continu par toutes les productions culturelles possibles : film, livres, séries, médias d’information. Elle ne se présente naturellement jamais comme dogmatique, elle imprègne tout discrètement pour mouler les esprits à ses exigences sans qu'ils ne s’en rendent compte. Mais sous prétexte de porter au pinacle l’individu, au nom de la lutte contre les discriminations, de la quête éperdue de nouveaux droits individuels, elle est objectivement destructrice de toute vie communautaire et se retourne ultimement contre les individus eux-mêmes. Mark Hunyadi expose parfaitement cette dialectique dans son livre La tyrannie des modes vie. « De sorte qu’il apparaît clairement aujourd’hui que ce qui se manifeste comme la victoire de l’individu signe en réalité la victoire du système qui a façonné l’individu à son image, à l’universalisme proclamée des droits humains correspond la globalisation effective des systèmes inhumains. » Toute cette idéologie ( en gros celle du politiquement correct fainéant) Hunyadi explique qu'elle façonne des modes de vie qui sont des formes de socialisation qui favorisent la logique de contraintes inhumaines, le politiquement correct étant "la meilleure garantie pour les systèmes instrumentaux – économiques, financiers, technoscientifiques – désormais mondialisés de pouvoir déployer à leur guise des réseaux complexes face auxquels les individus, mais aussi les communautés et les États, se trouvent politiquement et éthiquement démunis."
Quantité de penseurs ont annoncé l'explosion inévitable du capitalisme financier, ses stratégies de mutation, les motifs profonds du déploiement de la société du spectacle nécessaire à la reconversion en totalitarisme du capitalisme financier agonisant: Guy Debord, Gilles Deleuze, Jean-Jacques Baudrillard, Hebert Marcuse, Georges Orwell, Jean-Claude Michéa, Dany Robert Dufour à gauche, Pascal Bernardin, Martin Peltier, Claude Polin, Claude Rousseau, Maxence Hecquart, Jean-Jacques Stormay à droite et quantité d'autres encore...La crise de la covid-19 n'est qu'une étape de plus dans ce processus de déshumanisation fondé sur la chrématistique exigeant toujours de nouvelles mis au pas et tentant un passage en force pour nous faire franchir un seuil à la faveur de cette crise du Covid. Le Great Reset doit donc être compris comme cette tentative de reconversion du capitalisme financier agonisant en totalitarisme tirant prétexte d’une fausse crise sanitaire et d’une fausse crise climatique.
La manifestation d’Altorf, prévue le 10 avril prochain, n’a pas reçu d’autorisation, au motif que les participants de la manifestation de Liestal du week-end dernier ont refusé de se mettre un torchon sur la tronche pour empêcher la propagation du virus tueur ce qui expliquerait la hausse récente des contaminations....
La manifestation d’Altorf du 10 avril interdite

La manifestation d’Altorf, prévue le 10 avril prochain, n’a pas reçu d’autorisation, au motif que les participants de la manifestation de Liestal du week-end dernier ont refusé de se mettre un torchon sur la tronche pour empêcher la propagation du virus tueur ce qui expliquerait la hausse récente des contaminations. Ben voyons ! Avec leurs tests poussés à 45 CT toute personne un tant soit peu sensée sait très bien que les dés sont pipés. Cette interdiction complique les choses mais elle est aussi le signe que la peur est en train de changer de camp. Nous le savons, les terroristes sanitaires sont prêts à tous les mensonges, à bafouer tous les principes dont ils prétendent se réclamer, mais en même temps ce ne sont que des lopettes qui se font dessus plus vite que leur ombre. Si la contestation monte dans la rue, ils vont vite rentrer dans leur niche.
Le totalitarisme écolo-communiste qui menace de nous engloutir prospère par des voies non-aversives(*), la révolution qui le porte depuis 30 ans ne repose que sur la manipulation des masses, par le travail de sape du système éducatif et médiatique. Alexandre Zinoviev, le grand dissident soviétique, l’avait parfaitement perçu dès la fin des années 90 : « Nous sommes dans une époque post idéologique mais en réalité la supra-idéologie du monde occidental diffusée au cours des 20 dernières années est bien plus forte que l’idéologie communiste ou national-socialiste. »(cité par Nicolas Bonnal dans Si quelques résistants...)
A la même époque, Pierre Bourdieu expliquait, quant à lui, que les médias sont parmi les principaux rouages de cette mécanique d’asservissement: « Les médias contrôlent l’accès à l’espace public. Toutes les tentatives pour faire parvenir jusqu’au public le plus vaste un message dissonant ou dissident se heurtent à la barrière du journalisme. »( Pierre Bourdieu, entretien accordé au journal L’USMAG, novembre 1999). Et rien de plus éclairant, pour comprendre la réelle nature des interdictions de manifester qui nous sont faites, que les analyses de Guy Debord, à la fin des années 80 : « Jamais censure n’a été plus parfaite. Jamais l’opinion de ceux à qui l’on fait croire encore, dans quelque pays, qu’ils sont restés des citoyens libres, n’a été moins autorisées à se faire connaître, chaque fois qu’il s’agit d’un choix qui affectera leur vie réelle. » (Commentaires sur la société du spectacle). Ce qu’il faut donc bien saisir, c’est que la mise sous l’éteignoir de nos libertés à la faveur de l’opération grippe 19, procède d’une dynamique révolutionnaire engagée depuis longtemps, d’une vaste opération de déconstruction de nos repères moraux traditionnels, de mise en place d'un appareil de propagande médiatico-étatique et de manipulation des mentalités destinée à nous conditionner et à nous faire adhérer à la société future que les grands prédateurs du capitalisme financier en phase terminale cherchent à accoucher pour pérenniser leurs privilèges.
(*) Terme consacré par Pascal Bernardin dans son maître livre L'Empire écologique. Non-aversif au sens de procédé rampant, ne s'exposant pas, ne brutalisant pas, tâchant de susciter le moins d’aversion possible, par le biais des institutions, des agences de l'Onu, de réseaux d'influence. Oeuvre de l'ombre des créatures lâches, des petites lopettes encore une fois.
Steve Claude est pharmacien à Delémont, chantre de la vaccination tous azimuts, pourfendeur des traitements contre le virus tueur et tout particulièrement contre la bithérapie du professeur Didier Raoult. Récemment il s'est dressé sur ses petits ergots pour dénoncer en Raoult et toute son équipe des "charlatans anti-science". Voici la...
Homais aime les vaccins!

Steve Claude est pharmacien à Delémont, chantre de la vaccination tous azimuts, pourfendeur des traitements contre le virus tueur et tout particulièrement contre la bithérapie du professeur Didier Raoult. Récemment il s'est dressé sur ses petits ergots pour dénoncer en Raoult et toute son équipe des "charlatans anti-science". Voici la réponse que je lui ai faite sur son mur facebook ( c'est ici)
"C’est un pur délice d’avoir à faire à un type aussi caricatural que vous dans le Jura, militant extrême de la vaccination, y compris pour les enfants. Et mon poisson rouge docteur ?
Vous vous en prenez à Raoult que vous traitez de charlatan alors qu’il a une expertise mondiale, qu’il a apporté, en termes de recherche, des avancées majeures concernant les virus complexes qui devraient faire rougir de honte le petit Homais de Delémont qui prétend lui faire la leçon. Relisez madame Bovary, vous en apprendrez beaucoup sur vous(*). Évidemment que l’hydroxy chloroquine a été utilisée dans de nombreux pays qui n’ont pas sombré, eux, dans le chaos que connaissent les pays dont les gouvernements ont prétendu qu’il n’y avait aucun traitement et fait pression sur les médecins pour qu’ils n’en administrent surtout pas. L’étude Fiolet and coll est une pure dauberie, les mecs ont invalidé plus de 800 études. Pour les 29 qu’ils ont retenues ils ont reconnu qu’elles avaient de nombreux biais, mais n’ont pas communiqué sur leurs propres biais, eux qui étaient assidus, depuis des mois déjà, à vomir sur Raoult.Les 4 études(**) qui ont été massivement relayées dans les médias pour discréditer Raoult ne portaient, pour aucune d’entre elles, sur son protocole ( toujours préconisé en face précoce) allant même jusqu’à administrer des doses toxiques aux patients. Si vous aviez un peu de recul épistémologique et philosophique, vous comprendriez l’énorme différence entre les maladies infectieuses et les non-infectieuses qui justifient, pour les premières, le recours aux études observationnelles, la méthodologie EBM ne les concernant pas directement, a fortiori lors d’une pandémie dévastatrice ( je dois me pincer en écrivant cette connerie relavant de la propagande mainstream), vous sauriez aussi, si vous aviez lu Heidegger que la technè a tendance à s’autonomiser et à mettre au service de ses intérêts ce qu’elle est censée servir, vous sauriez aussi, si vous aviez lu Michéa, que la tendance décrite par Heidegger s’accentue en régime libérale, la logique de rentabilité reléguant le bien commun dans les oubliettes de l’histoire, retournant comme des vieilles chaussettes tous les principes de sagesse hérités de l’histoire. Voilà qui vous aiderait à remettre en perspective la ruée vers les vaccins promue par nos gouvernements dont l'hystérie fait fouler au pied le code Nuremberg. Bref si vous aviez un peu de culture et de bon sens vous sauriez, cher monsieur Homais, que Flaubert a flingué, il y a plus de cent ans déjà, la posture pontifiante que vous incarnez, faisant de vous un pur propagateur d’insanités.
(*) petit cours de rattrapage en littérature à l’usage des pharmaciens vaccinateurs fous du XXIe siècle« Homais s'épanouissait dans son orgueil d'amphitryon, et l'affligeante idée de Bovary contribuait vaguement à sa joie, par un retour égoïste qu'il faisait sur lui-même. Puis, la présence du docteur le transportait ; il étalait son érudition, il citait pêle-mêle les cantharides, l'upas, le mancenillier, la vipère. »
**1) Yazdanpanah Y. & al., Trial of Treatments for Covid-19 in Hospitalized Adults, France. (Essai Discovery).2) Magagnoli J. & al., Outcomes of Hydroxychloroquine Usage in United States Veterans Hospitalized with Covid-19, États Unis. (Med).3) Mehra M. & al., Hydroxychloroquine or chloroquine with or without a macrolide for treatment of Covid-19: a multinational registry analysis, (The Lancet). 4) Horby P., Landray M. & al., No clinical benefit from use of hydroxychloroquine in hospitalised patients with Covid-19, Royaume-Uni. (Essai Recovery)."
Bon on est d’accord, là ils sont passés à l’offensive à un degré de magnitude qui ne figure pas sur l’échelle de Richter. Ils en rêvaient depuis des décennies de ce sprint final où ils allaient enfin pouvoir réduire en bouillie l’occident et ses peuples, préalablement et diligemment abrutis à...
Le Big Reset dans l’histoire

Bon on est d’accord, là ils sont passés à l’offensive à un degré de magnitude qui ne figure pas sur l’échelle de Richter. Ils en rêvaient depuis des décennies de ce sprint final où ils allaient enfin pouvoir réduire en bouillie l’occident et ses peuples, préalablement et diligemment abrutis à la télévision, à Hollywood, à la bagnole, au loisir, à la consommation depuis 1945 minimum. Tant qu’il ne sera pas relégué à fond cale à croupir dans ses déjections, jamais ils ne lui pardonneront, à l’occident, d’avoir été le porteur dans le monde du logos chrétien et du logos grec. Y a pas à dire, ils ont de la suite dans les idées et une sacrée capacité à ronger leur frein. Ils nous ont fourré de farce démocratique pendant des siècles tout en nous faisant rôtir à la broche à petit feu sans qu’on s’en aperçoive. Parfois, ils ont quand même dû accélérer un peu brutalement la dynamique, 2 guerres mondiales dans ta face, mai 68, le 11 septembre, tous ces trucs-là ne se font pas sans un certain fracas, certes. Pour le reste, suffit de laisser opérer la logique de la crétinisation généralisée et du moi avide des mêmes babioles que celles dont il voit son voisin se pourlécher. Tu fais monter tout ce petit monde sur le théâtre démocratique et il te joue pile poil la partition que tu attends de lui. Quand le système est en surchauffe, à cause de tout le pognon de la dette sorti de nulle part qui huile ses rouages, tu fais péter un gros truc ou tu cries au virus tueur, ça tétanise, ça crée un esprit de corps, autour de la nation, de la patrie, de la santé en danger, la tienne, celle de papi, de mamie ou du chien. Ca offre plein d’opportunités pour pousser un peu plus loin le processus. Ils n’en sont pas à leur galop d’essai avec le virus tueur. C’est juste que maintenant, on est à point avec toute cette bonne farce démocratique dans le fion, ils vont pouvoir passer vraiment à table.
C’est tout con à comprendre, les options profondes que prennent un Etat, une société, en régime de démocratie faussée, se jouent loin du théâtre des élections, qui n’est qu’une scène de pure diversion. Vous en voulez un autre exemple bien précis dans l’histoire de big Reset ? Lorgnez du côté de la nuit 4 août 1789. C’est là que leur démocratie a acquis ses lettres de noblesse. Pour toutes les personnes biberonnées à l’histoire officielle, la nuit du 4 août 1789 est synonyme de l’abolition des privilèges que se seraient arrogés indûment noblesse et haut clergé. Dans un grand acte de vie démocratique, les députés de l’Assemblée Nationale les auraient abolis. Or les privilèges, sous l’ancien régime, constituaient en fait tous les droits chèrement conquis par les villes, les régions, les différents corps de métiers. La nuit de 4 août les balaya d’un coup. Un peu comme si on abolissait en une nuit code civile, code pénale, droit de propriété. Tout le savant équilibre qu’assuraient « les privilèges », tenant compte des particularités et spécificités de chacun, furent ainsi mis par terre pour livrer la société au principe du libéralisme sauvage (par le décret Allarde et la loi le Chapelier qui suivront), c’est-à-dire abandonnant l’ouvrier pieds et poings liés entre les mains des détenteurs du capital alors qu’auparavant chaque corps de métier était organisé avait mesure, subtilité, au point qu’existaient, dans la plupart des corporations, des protections équivalentes à nos assurances en cas de maladie ou accident et des caisses de retraite pour les plus âgés (Il faudra attendre plus d’un siècle pour que pareilles protections puissent renaître). En une nuit, tout fut nivelé pour être livré au juridisme abstrait et à la logique prédatrice du libéralisme sauvage dépouillant les ouvriers et les personnes vulnérables de toutes protections. Mais comment se produisit ce grand Reset ? C’est là que l’histoire éclaire sur ce que nous vivons.
Hubert Lamarle(*) explique que préalablement à ce vote du 4 août 1789, les hommes du duc d’Orléans ( futur Philipe-Egalité, père du futur roi Louis-Philippe) semèrent la terreur pendant des jours en propageant des rumeurs de troubles, de massacres et de pillages. La stratégie est semblable à celle dont usent les globalistes et leurs médias de nos jours en martelant leur narratif catastrophiste relatif au coronavirus, manipulant la science, faussant les données, dénaturant les faits. En 1789, comme actuellement, le peuple fut saisi d’épouvante, et se mit à craindre pour sa famille, ses terres, sa subsistance. En plus des émeutes et des massacres, que le duc d’Orléans organisa en arrière-fond, celui-ci offrit en outre, la nuit du 4 août, un grand banquet, y invitant les députés par l’intermédiaire de ses fidèles du club breton et avec l’aide de ses amis les ducs d’Aiguillon et de la Rochefoucauld. Les députés arrivèrent ivres, pour beaucoup d’entre eux, dans la salle de l’Assemblée Nationale où le Guen de Kérangal, député breton, monta à la tribune et scandalisa l’Assemblée en expliquant que les privilèges avaient conduit les seigneurs, au Moyen âge, à obliger les serfs à : « passer les nuits à battre les étangs pour empêcher les grenouilles de troubler le sommeil de leurs voluptueux seigneurs. » Un mensonge équivalent à la légende du droit de cuissage, que continue de propager nombre de manuels d’histoire, ou à l’actuel narratif des globalistes qui présentent la normalité, à laquelle le coronavirus nous a heureusement fait tourner le dos, comme une « machine apocalyptique ».
Nous vivons, avec les moyens de propagande actuels, la même mise en condition des peuples et du personnel politique s’illusionnant sur la réalité de notre monde, ignorant tout des objectifs que poursuivent les forces qui travaillent en profondeur notre réalité. A l’échelle du monde, les globalistes mènent une campagne de terreur et les politiciens, ivres de leur aveuglement et de leur ignorance consentie, jouent la partition préparée pour eux par les globalistes pour précipiter nos sociétés dans les joies du Big Reset d’où ils sortiront un ordre nouveau : l’écolo-communisme 2.0
(*) « Philipe-Egalité, grand maître de la Révolution »
Israël, vous savez ce pays volé aux Palestiniens selon Ben Gourion*, applique maintenant aux Israéliens eux-mêmes un traitement inhumain. Ruse de l’histoire, justice immanente, châtiment divin diront certains. Perso, j’en sais rien, je suis pas dans les confidences du taulier suprême . En tous les cas, la situation des Israéliens...
“Demain à Jérusalem”

Israël, vous savez ce pays volé aux Palestiniens selon Ben Gourion*, applique maintenant aux Israéliens eux-mêmes un traitement inhumain. Ruse de l’histoire, justice immanente, châtiment divin diront certains. Perso, j’en sais rien, je suis pas dans les confidences du taulier suprême . En tous les cas, la situation des Israéliens est tragique à en croire le témoignage d'une jeune Israélienne(ici) La stratégie israélienne, montrée en exemple par les chancelleries occidentales qui s’en inspirent également pour mettre au point un passeport vaccinal, tourne au cauchemar.
*« Si j’étais un chef arabe, je ne passerais jamais d’accord avec Israël. C’est naturel : (…) nous sommes venus ici et leur avons volé leurs pays. Pourquoi accepteraient-ils cela ? » (. Cité dans Nahum Goldmann, The Jewish Paradox : A Personal Memoir, 1978)
J’ai débarqué à Berne ce samedi avec les gosses, pique-nique dans le sac à dos, histoire de combiner rando culturelle et défense de la liberté. On sort de la gare, putain que des flics ! Y en a des paquets partout, à perte de vue, avec des casques d’astronautes, des...
Berne, 20 mars 2021, petite rando au cœur de la suisse démocratique

J’ai débarqué à Berne ce samedi avec les gosses, pique-nique dans le sac à dos, histoire de combiner rando culturelle et défense de la liberté. On sort de la gare, putain que des flics ! Y en a des paquets partout, à perte de vue, avec des casques d’astronautes, des gilets pare-balles, des grenades ou je ne sais quoi dans chaque poche, des boucliers, des flingues. Là j’ai dit aux gosses :« Les gars, y ont l’air bien à cran, pas la moindre facétie, pas le moindre pétard, même pas un petit pet ». On a tous bien serré les fesses en traversant la place de la gare de manière à n’offrir aucun prétexte aux Robocops pour qu’ils fassent usage de leur arsenal. La nature des terroristes qui s’apprêtaient à prendre d’assaut le Capitole, enfin je veux dire le Palais fédéral, nous est alors immédiatement apparue dans sa sauvagerie profonde justifiant le déploiement sécuritaire hors norme. Un groupe de dames a particulièrement retenu notre attention, ces furies se sont lancées dans des danses échevelées en appelant à Thor pour qu’il fasse s’abattre sa foudre sur les forces de l’ordre; j’ai également pu identifier des Valaisans très retors qui proposaient des spécialités de leur terroir n’ayant reçu aucune certification de Swissmedic pour prétendument soutenir le système immunitaire des enragés; des parents ignobles provoquaient les courageux Robocops en se blottissant derrière leur progéniture, s’en servant comme bouclier; des personnes âgées préparaient des cocktail molotov dissimulées derrière les tramways et j’ai même deviné les contours d’un magnum 747 dans le sac à main d’une vieille dame.
A un moment, n’en pouvant plus devant ce spectacle de haine rabique, j’ai été recherché un peu de réconfort auprès d’une jolie fliquette, mettant genou à terre devant elle je lui ai tendu une délicate jonquille (sur cette vidéo, que vous retrouvez à la fin également). Elle n’a pas daigné l’accepter. Le traumatisme, j’suis pas habitué, moi qui ai plutôt tendance à emballer facile ! Je me suis rassuré en me disant qu’elle avait certainement reçu des ordres du style : « Si les terroristes vous attaquent avec des fleurs, restez le plus possible impassibles. S’ils insistent trop, faites-leur bouffer ». Quelques robocops firent ainsi virevolter leur belle matraque toute neuve sur la gueule des terroristes armés de fleurs.
Heureusement qu’il nous reste le rire (ici et à la fin) et cette faculté de « danser dans nos chaînes » comme disait Nietzsche. Le type était barge de chez barge, aimant, à la fin de sa vie, à partager avec le personnel médical de son asile les étrons qu’il déposait avec componction dans son lit et qu’il prenait pour des productions artistiques sans égales, mais il a quand même eu de jolies formules. En l’occurrence, je ne vois guère plus que le rire et une certaine forme d’insouciance goguenarde pour tenir bon fasse à la déferlante fangeuse de nos autorités.