Réponse au courrier de lecteur paru dans le Quotidien jurassien de Joël Affolter
A vous lire, monsieur Joël Affolter (cliquez ici), ce serait par pur souci de confort personnel que des personnes s’ opposeraient au pass sanitaire, notamment en manifestant ? Il fallait l’oser celle-là, puisque leur opposition leur vaut tous les inconforts imaginables. Je ne sais pas si vous avez suivi les informations depuis 3 semaines, mais un pass a été imposé pour l’essentiel des activités sociales, sportives et culturelles et parfois même dans le cadre des activités professionnelles. Ce pass a été imposé parce que selon nos grands stratèges gouvernementaux, c’est en prenant pour cible le confort des citoyens et leur source de revenue qu’on obtiendra d’eux qu’ils cèdent et se fassent injecter un produit expérimental qui a déjà fait de nombreux dégâts. Les injectés le font donc toujours davantage sous la pression des stratégies scélérates des autorités afin de ne pas être trop atteints dans leur vie professionnelle ou leur confort de vie. Vous êtes donc totalement à côté de la plaque en faisant aux opposants un procès en égoïsme ou en les traitant d’enfants gâtés. Eux se battent au mépris de leur confort immédiat, voire de leur vie professionnelles. Quant à savoir si la terrible pandémie que nous traversons – qui n’a jamais été terrible, pour l’immense majorité de ses victimes, que pour des personnes ayant dépassé l’espérance de vie – exige l’imposition de mesures toujours plus extrêmes, comme ce passe de la honte de sinistre mémoire, il faudrait au minimum, pour que l’on puise envisager de prendre en considération leur légitimité, que les injectés soient réellement protégés et contre le risque de transmission et contre les effets réellement graves de la Covid. Or l’Ofsp elle-même a reconnu que les vaccinés étaient aussi contaminants que les non vaccinés et les chiffres de GB, d’Israël ou d’autres pays plus avancés que nous dans la vaccination montrent que les hospitalisés se recrutent majoritairement chez les vaccinés. Je vous concède cependant que depuis fort longtemps notre mode de vie est susceptible d’alimenter de puissantes bases de données. Mais à ce que je sache, l’exploitation de ces données n’avaient jusqu’à ce jour aucune base légale pour priver quelqu’un de travail, pour le contraindre à la réclusion à domicile, pour le pousser à s’injecter un produit expérimental dans son corps, lui interdire de prendre part à la société civile. Que vous ne perceviez pas qu’une ligne rouge abominable a été franchie est assez inquiétant. Cela relève de la même cécité que celle qui vous afflige quand vous ne voyez pas que les opposants à ces mesures le font au mépris de leur confort immédiat. La conclusion s’impose : vos arguments se retournent totalement contre vous, les vaccinés résistent malgré la mise en charpie de leur confort ou de leur vie professionnelle, le passe de la honte est une hérésie scientifique (comme nombre d’autres mesures que nous avons subies), une mesure purement politique de contrôle. Je vous laisse deviner à quelles fins.
