Dans la vidéo ci-dessous Pierre Hillard produit un concentré d’informations très précieuses pour comprendre ce que nous traversons.
Il rappelle tout d’abord que les banquiers centraux ont eu une réunion en août 2019 au cours de laquelle le président de la banque centrale d’Angleterre, Mark Carney, a annoncé la fin du dollar, l’émergence d’une monnaie mondiale, synthétique et hégémonique tout en précisant que cela ne se fera pas sans heurts. Il rappelle que le projet mondialiste court depuis des siècles, qu’il fut tout d’abord porté par des idéologues: Utopia de Thomas More en 1516, Le nouveau Cymée 1623 d’Emeric Crucé, La nouvelle Atlantide en 1626 de Francis Bacon, La République universelle du genre humain en 1792 d’Anacharsis Cloots, puis relayé par des réseaux politiques et financiers, Cromwell, les Rothschild et ses obligés Cecil Rhodes, Alfred Millner, le réseau Rockefeller. Carrol Quigley, le grand professeur des plus prestigieuses universités américaines, mentor de Bill Clinton, a parfaitement exposé toute cette filiation dans Histoire secrète de l’oligarchie anglo-américaine. Quigley partageait certes les objectifs de gouvernance mondiale de cette élite mais il réprouvait ses méthodes.
Revenant à l’actualité, Pierre Hillard rappelle qu’en 2010 la fondation Rockefeller a présenté un rapport, Scenarios for th futur technology and international development . Y est évoqué une pandémie qui oblige l’instauration de mesures dictatoriales pour gérer la situation et le désordre. Mais le rapport insiste sur le fait que ces mesures doivent perdurer une fois que la pandémie a disparu. Pierre Hillard explique que ces problèmes sont utilisés pour mettre en place des mesures qui ne pourraient pas l’être si le problème n’existait pas. « Donc bienvenu le problème » ironise-t-il. Il traite ensuite des vaccins à nanoparticules expérimentés sur les populations les plus pauvres du monde, naturellement promus par la fondation Bill et Melinda Gates, qui travaille avec la fondation Rockefeller, Gavi et le John Hopkins Center. En 2019 ils ont organisé Event 201, une simulation pour répondre à une pandémie, recourant à un vaccin à nanoparticules. Pierre Hillard évoque le brevet de ce dispositif enregistré le 26 mars avec pour numéro WO/2020/06/06/06. Il revient sur le programme ID2020, toujours mis en œuvre par les mêmes (Gates and Rockefeller) pour pouvoir identifier les personnes avec un marquage dans le corps perceptible numériquement. Les tests se faisant naturellement sur les populations les plus faibles du monde, car lorsqu’ils tournent mal, les tragédies sont vites étouffées dans les pays corrompus dont les peuples vivent dans la misère.
Pierre Hillard conclut avec le programme Global Goals , l’agenda 2030 dont j’ai parlé dans plusieurs vidéos(ici). Ce programme noue la gerbe. Il reprend tous les rapports bancals des années 70-80 (Club de Rome, Trilatérale), les objectifs de la conférence de Rio en 1992 et son agenda 2021. En 2015 le tout est synthétisé dans l’agenda 2030 et ses Global Goals :la lutte contre la pauvreté, les villes intelligentes (smart city, villes surveillées, sous contrôle total), les sociétés décarbonées, la santé procréative (au fond eugéniste et transhumaniste) la promotion des projets transfrontaliers, de l’immigration par la migration planifiée. Or pour accoucher de ce monde merveilleux il faut la destruction de l’ancien monde reposant sur la souveraineté des nations, les monnaies nationales, il faut dissoudre les frontières, favoriser le métissage. C’est l’expression d’un programme ancien : société mondiale, monnaie mondiale, population métissée, celui d’ Anacharsis Cloots, de Emeric Crucé et de leurs semblables.
Raison pour laquelle Kristalina Georgieva, directrice du FMI, a annoncé en juin 2020 l’avènement de la grande réinitialisation pour aboutir à un monde « plus vert, plus intelligent, plus juste » en s’adressant devant un parterre de personnages acquis à la cause mondialiste, auquel était présent Klaus Schwab qui annonce lui aussi le Great Reset. Elle soutient qu’il faut favoriser l’aspect numérique dans tous les domaines et favoriser l’investissement privé et public freinant l’emploi du carbone sans négliger l’endoctrinement des jeunes en promouvant une éduction favorable aux sociétés vertes. Hillard explique alors que la finalisation de l’opération repose sur la fin du dollar et l’émergence d’une monnaie mondiale.
Le coronavirus est donc le déclencheur permettant la finalisation d’un projet séculaire.
Le grand Reset « c’est le remplacement des idées, des institutions, des processus et des règles actuelles » explique Klaus Schwab.
Qui ne voit pas le lien entre le coronavirus et la refonte en cours du monde, préparée depuis des décennies doit être regardé pour ce qu’il est : un aveugle qui l’est par consentement pour les raisons évoquées dans un précédent article(ici).