Le gauchisme, meilleur allié de la terreur sanitaire !

 J’ai été gauchiste jusqu’à mes 20 ans, puis la vie et des années d’étude m’ont permis de comprendre ce qu’avaient de maladifs les postulats gauchistes, qui tournent actuellement à plein régime, contribuant à nous enfermer dans une société totalitaire que Orwell lui-même n’a pas su anticiper. Le prurit pathologique gauchiste réside dans le fait de considérer que tout ce qui pourrait évoquer, même en filigrane, un ordre traditionnel et naturel des choses n’est que miasme produit par le ventre toujours fécond de la bête immonde. Or maintenant que nous avons sous les yeux un monde totalitaire en voie d’achèvement, que tout est en place pour une servitude implacable des peuples, les gauchistes désignent les contestataires de la terreur sanitaire comme des dangereux complotistes et s’érigent en chiens de garde de la démocratie d’apparat. Toute cette pitrerie démocratique du gauchisme, allié objectif depuis des décennies de l’oligarchie satanique, ne mérite cependant plus une seule seconde qu’on s’y attarde. Le gauchisme a toujours été le relai culturel de la destruction de tout ce qui peut empêcher la domination sans partage des puissants acquis aux joyeusetés de la finance vagabonde. En se faisant la championne de toutes les revendications subjectives les plus délirantes, le gauchisme pousse non seulement l’individualisme jusqu’à un niveau d’incandescence jamais atteint, favorisant l’extension de la logique marchande et de l’intérêt privé, mais détruit, en outre, le principe même de rationalité, rendant possible la psychose collective qui nous engloutit.

Les gauchistes ne sont en fait que des petits geignards qui font mine de se soucier de la vie des vieillards, pour qui l’heure est venue de passer sur l’autre rive, faisant de fait payer lâchement à la jeunesse le prix de la peur qu’ils ont de leur propre mort. Rien à foutre des préoccupations de ces pleurnichards, toujours à revendiquer que  le Grand Etat protecteur leur garantisse de nouveaux droits face aux privilèges produits par des siècles supposés de racisme, de sexisme, d’antiféminisme, d’homophobie, rien à foutre de cette horde de veules misérables qui aspirent à voir la société être transformée en un immense asile ou laboratoire à ciel ouvert pour leur éviter d’avoir à croiser le virus tueur dont ils n’ont en fait rien à craindre, pure projection fantasmatique de leur paranoïa suicidaire, d’inaptes à l’existence.

Je ne suis pas une belle âme moi, je ne crois plus depuis longtemps aux vertus de la fausse démocratie, du libéralisme, de l’humanisme, de toute cette saloperie mensongère qui a tout détruit sur son passage depuis deux siècles à grands coups de génocides, de barbaries pseudo-libératrices et de bombes dans ta gueule, si t’es pas dans le camp du messianisme libéral démocratique. Mon âme pue l’hominerie pas moins que celles des poseurs gauchistes, mais elle a sur la leur la supériorité de savoir qu’elle existe et qu’elle aura des comptes à rendre à son juge et créateur, ce qui lui fait chercher tant bien que mal à s’affranchir des turpitudes dont elle s’est laissée( et se laisse encore parfois) complaisamment souiller, sécrétées par les belles âmes drapées dans leur bonne conscience humaniste.

Toute leur vie les gauchistes ont traqué les pensées traditionnelles comme autant de résurgences de la bête immonde, maintenant que celle-ci se dresse devant eux, prête à tout dévorer, ils ne voient rien. Ils ne le peuvent en effet, puisqu’elle est enfant du même cloaque que celui dont ils sont issus, celui du « mystère d’iniquité » qui fait son miel de l’orgueil des créatures spirituelles prétendant leur subjectivité souveraine affranchie de la volonté du Créateur.