Jura: débandade générale dans le camp des covidiens

Alors quoi, pas de cluster après la liesse populaire qui  a suivi le vote des Pévôtois en faveur du rattachement au canton du Jura ? Eh bien non, rien du tout, pas l’ombre d’un frémissement du virus tueur, le calme plat. L’aveu crée des contorsions piteuses et embarrassées dans la caste des psalmodieurs de la terreur sanitaire. Malgré l’augmentation des tests ces deux dernières semaines, rien n’y fait. Les fameux cas se refusent à repartir à la hausse. On sent que les circuits neuronaux de nos jusqu’au-boutistes covidiens tournent à vide et peinent à intégrer l’info qu’ils aimeraient bien pouvoir, comme tant d’autres, glisser sous le tapis, mais là c’est quand même un peu difficile de détourner le regard, puisque tout le monde en parle dans la population jurassienne.  

Le lendemain du rassemblement des 3000 personnes, beuglant, chantant, à visage découvert, dansant, basculant de joie dans les bras des uns et des autre, le soldat appointé Nicolas Pétremand (accessoirement chef de service de la santé publique du canton du Jura) avait annoncé la couleur, lâchant sur les ondes de RFJ qu’en l’absence de cluster il n’y «comprendrait plus rien ». Mais le soldat appointé Pétremand a-t-il jamais compris quoique ce soit à la grosse opération de manipulation et de contrefaçons dans laquelle il a été entraîné ? Le capo  Gerber, lui, remarquait, sur la Rts mercredi passé,  que les choses pouvaient encore tourner, qu’avec le virus tueur tout était tellement imprévisible, qu’il attendait des analyses des scientifikkkkkkk (les vrais, ceux qui sont labellisés par le pharma), concédant cependant qu’en l’absence de flambée la question de l’ouverture des bistrots devait être posée, dans le respect, naturellement,  de la traque sanitaire au moindre postillon. Mais le meilleur est venu de notre éditorialiste préféré, j’ai nommé Rémy Chételat dans son éditorial de samedi du QJ(voire ci-dessous). Sachez, Jurassiens, que vous n’avez eu qu’un nouveau monstre coup de chance, vous explique-t-il. Comme l’année dernière, quand le virus tueur était pourtant bien là rangé en ordre de bataille à nos frontières, ses légions s’apprêtant à fondre de Lombardie et d’Alsace sur la petite Suisse tremblotante pour finalement se débander en rase campagne. Ben là ce serait tout simplement rebelotte! Bon, le nouveau gros coup de bol ne le convainc qu’à moitié le Rémy, pour l’autre il s’accroche au mystère, au miracle. Tout juste s’il ne nous parle pas d’une nouvelle intercession de saint de Nicolas de Flue ! Mais le meilleur est pour la fin, car Rémy nous explique que cette salutaire intervention de la providence ne doit surtout pas dispenser les Jurassiens à se faire vacciner à tout de bras. Notre salut passe par là.

C’est la débandades générale les amis. Les mecs n’y comprennent rien, ils le disent eux-mêmes, ils bafouillent, se retranchent derrière leurs scientifikkkkk et sont prêts à verser dans les explications théologico-mystique à deux balles. Mais à bien y regarder, n’est-ce pas dès le début le virage qu’ils ont pris en suivant les oracles de la Pythie en chef, le sergent major Berset qui ,au mois de mars 2020 déjà, expliquait que sans un vaccin on ne s’en sortirait pas? Le mot d’ordre était lancé, tous dans le réduit national domestique, embarquement immédiat et général dans le train fantôme, on éteint tout et on vous fait défiler tous les spectres qu’on va trouver dans la boîte à outil du terrorisme d’Etat pour vous foutre la pétoche de votre vie et ne laisser ouverte aucune autre porte de sortie que celle du vaccin. Ça a commencé par l’interdiction des traitements. En docteur Knock fou, l’Etat a pris les commandes de la médecine. Un traitement? Vous n’y pensez pas, on ne saurait guérir de la covid !  La santé d’ailleurs n’est qu’une illusion, un état transitoire entre deux infections à la covid. Etre asymptomatique c’est être sur le point de ne plus l’être, c’est être sur la corde raide, prêt à chuter à tout moment, ce n’est pas un état stable, normal.  La maladie est la normalité, surtout en période de pandémie. Et puis des fois qu’il y aurait un traitement, on pourrait plus d’ici quelques mois sortir de notre chapeau magique un vaccin tout frais, validé par Swissmedic au motif de la clause d’urgence, parce que la balance bénéficie – risque ne pourrait plus être invoquée. Après, il n’y a plus qu’à dérouler : et vas-y que je t’interdise tout simplement des traitements que d’autres pays utilisent avec succès, accrédités par quelques-uns des plus grands scientifiques de notre temps ; et vas-y que je te produise des fausses études adoubées par les plus prestigieuses revues scientifiques du monde ; et vas-y que je t’exploite au maximum un pseudo-test impuissant à établir des diagnostics ; et vas-y que je coche dans la case covid tous les morts qui les années précédentes étaient dus à la grippe ou à d’autres maladies respiratoires ; et vas-y que je te fasse mettre sur le museau ce qu’au début de la pandémie je te présentais comme tout à fait inutile voire nuisible ; et vas-y que je te vandalise des secteurs entiers de l’économie pour que tu te pénètres bien de l’idée que la situation est terrible, effroyable, à ne pas mettre un orteil dehors sans qu’il soit masqué ; et vas-y que je te mette en pleine poire l’état de saturation de certains hôpitaux, pourtant régulièrement engorgés, d’année en année, en raison des politiques qui ont fait fondre leur capacité d’accueil ; et vas-y que je te colle un passeport sanitaire, que je te trace, que je te réprime, que je t’entrave, que je te dénonce si tu ne marches pas pour ton bien et celui de toute l’humanité dans les clous de la psychose du docteur Knock.  

Vous n’y comprenez plus rien ou vous feignez de ne plus rien y comprendre, n’est-ce pas messieurs les fidèles de la Pythie Berset ? Elle, elle sait de quoi il retourne, elle, elle prend ses ordres directement à l’état-major globaliste, et peut-être que vous-mêmes d’ailleurs, en votre fors intérieure, vous le savez très bien. En tous les cas, je suis sûr que vous devinez que vous vous êtes fait rouler dans la farine et que vous nous avez fait rouler avec vous. Votre absence de capacité de réflexion, votre conformisme fainéant, votre indigence en philosophie politique, votre mémoire de poisson rouge (l’arnaque de 2009, la défaillance des vaccins n’est pourtant pas très loin) vous poussent maintenant à vous faire vous-mêmes Pythie, à vaticiner sur les perspectives de nouveaux rebonds, de délivrance possible par le vaccin, à spéculer sur des interventions providentielles. L’art de la divination n’a plus de secret pour vous : il n’y aura aucun relâchement, tout le monde va participer à l’expérimentation génique de masse la fleur au fusil. Car votre vaccination n’est qu’une expérimentation. Mais vous le dites à l’antenne, vous le dites dans vos tribunes ? Vous pouvez continuer à nier toute la réalité de l’odieuse manipulation que vous avez couverte de votre mutisme, par mimétisme, par ambition politique ou professionnelle. Vous allez continuer à le faire, j’en suis bien certain, vos facultés de vous duper vous-mêmes sont sans limite, mais vous ne pourrez nier devant l’histoire que vous saviez que ces injections de masse sont des expérimentations et que vous avez tout entrepris pour inciter les gens à y prendre part aveuglément, vous ne pourrez nier devant l’histoire que vous l’avez caché à vos contemporains. Et inutile de dire qu’au moment de passer en jugement devant le Juge Suprême tous les effets de manche seront inutiles, puisque, comme tout un chacun, vous comparaitrez à poil.