Comment les onanistes du Big Reset sont-ils parvenus à nous submerger de foutre depuis une année ?

On n’est pas au bout de nos surprises avec la sémillante bande du club d’onanistes dégénérés qui préparent le Great Reset. Voilà des siècles qu’ils s’astiquent le manche en fantasmant à un monde dont ils auraient écarté toute altérité pour en faire une bouillie indifférenciée modelable au gré de leurs convoitises dévoyées et prédatrices. Le projet consiste à arraser toutes les différences, détruire les frontières et les invariants anthropologiques au nom de l’Open society chère à Soros, basculer dans la société distanciée, désagrégée, celle du contrôle total. Pour obtenir l’état actuel de sidération et de docilité des masses, il fallut, au préalable, des décennies de déconstruction de la raison par la promotion, au motif de lutte contre les discrimination et de combat contre le patriarcat (les deux mamelles du politiquement correct) de toutes les revendications subjectivistes les plus délirantes.  Le covid, n’a été que l’occasion de donner le coup de rein final.

Vous ne le savez certainement pas, mais le passeport vaccinal est un projet que la commission européenne a entériné en grande pompe dès septembre 2019. Tout était déjà dans les cartons, bien avant que ne déboule le virus tueur. En octobre 2019 la commission européenne publia ainsi, en accord avec l’Oms, son plan de vaccination obligatoire et universelle(*). Le Covid n’est qu’une étape du processus global pour passer à la vitesse supérieure. Mais pour que les onanistes du club du Big Reset puissent nous asperger de leur foutre à flux tendu depuis plus d’une année, encore fallait-il qu’aucun traitement ne se mette en travers de leur route. En effet, l’émergence du moindre traitement rend caduque leur expérimentation génique de masse présentée comme la seule issue possible de sortie de crise. C’est sur cette sinistre voie que la Pythie Berset, cornaqué par l’onaniste en chef Klaus Schwab, nous a engagés depuis le mois de mars 2020, affirmant que sans un vaccin nous ne nous en sortirions pas.  C’est précisément tout le propos d’une vidéo, naturellement censurée sur les réseaux sociaux ( on ne parle même pas des médias puants officiels), dans laquelle le professeur de médecine Peter McCulloug de l’université du Texas explique comment et pourquoi la traque aux traitements a été lancée dès les débuts de la pandémie.

(*)Roadmap for the implementation of actions by the European Commission based on the Commission communication and the Council recommendation on strengthening cooperation against vaccine preventable diseases