La progression du totalitarisme sanitaire écolo-communisme est telle qu’il n’y a désormais plus lieu de prendre des pincettes. Il faut balancer désormais la vérité toute crue. Evidemment que nos élites sont pourries, mues par un horizon à hauteur de leur trou de balle et à travers lequel elles mirent le monde, véritable alpha et omega de tout ce qui les anime. Evidemment qu’elles sont douées d’une conscience morale effondrée sur elle-même, exaltant le petit moi avide de toutes les jouissances, incapable d’assujettir ses pulsions à la moindre grandeur supérieure à sa petite subjectivité crasse. Ô certes, nos élites clament leur infini respect de l’autre, de la dignité humaine. Elles disent que l’autre est la limite de leur liberté avec des accents mystiques dans la voix, mais pour autant que ces autres mirent aussi le monde à travers leur trou de balle. Des fois que l’autre prétendrait que Dieu, sa nation, sa tradition culturelle, sa famille, lui sont supérieurs, exigeant de lui qu’il en rabatte sur ses pulsions, un tel autre leur devient suspect, pire, il tombe sous l’accusation infâmante de salaud fasciste. C’est cela le piège qu’ont tendu nos élites depuis des décennies, c’est par cette stratégie qu’elles mènent le monde sur la voie radieuse de l’écolo-communisme. Mais le peuple dans tout cela ? Et bien il leur emboîte le pas depuis longtemps, il renouvelle leur mandat, se vautre dans l’industrie du spectacle, suit leurs injonctions médiatiques. Myriade de petits mois jaloux des jouissances des puissants, aspirant à la même décomplexion macabre. Et pan dans ta gueule petit peuple ! Le corona va te renvoyer à la merde dans laquelle tu dois rester à barboter. Tu y as cru à la morale inversée, tu y as perdu ton âme, tout souffle de vie et tu appelles maintenant de tes vœux que les puissants te protègent contre la grippe-19. Ils te mettront en cage, attendront que tu débarrasses le plancher, ils n’ont plus besoin de toi. En te prêtant à leur jeu, tu leur as permis de tout pourrir, d’étendre leur logique mortifère à toute la société. Songe seulement que de nos jours si tu oses penser que l’institution du mariage ne doit concerner que les unions entre un homme et une femme, tu es mis au rebut de la grande histoire. En te prêtant à leur jeu, en convoitant le contenu de leur gamelle c’est toi qui les as faits rois. Maintenant qu’ils n’ont plus besoin de toi, qu’ils maîtrisent tous les leviers du pouvoir, toutes les richesses du monde, qu’ils ont noyé la raison dans les eaux de leurs égouts, les rats n’ont plus besoin des mulots. Ils pourront se faire servir par leurs robots, ils ont la haute main sur une technologie dont tu imagines à peine les ressources infinies. Tu as cru à leur théâtre démocratique, aux grandes libertés qu’ils te faisaient miroiter, tout cela n’était que le cache sexe de leur phallus bandé qu’ils t’ont toujours mis bien profond, avec une délectation toute particulière pour les fesses joufflues de tes gosses. Tu as cru, petit peuple, que la liberté consistait à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui, et encore, tout ce qui ne nuit pas publiquement à autrui, parce que, en douce, autrui, si tu peux le baiser, si personne n’y voit rien, y a pas de mal ! Tu as cru que la liberté c’était de pouvoir se donner sa propre loi, tu as cru que toi, petit vermisseau( pas plus petits que les puissants cependant) tu pouvais être le maître de la loi, le maître de l’univers, que celui-ci ne portait pas en lui une loi qui t’es infiniment supérieure, reflet de la supériorité absolue de son auteur. Tout cela t’arrangeait bien. Oui, mais voilà, la partie est finie maintenant ! Ta démocratie, écrin de tes libertés, ils te l’ont fracassée sur le crâne, et tu en redemandes. Protégez-moi monsieur Berset, protégez-moi Tamedia, protégez-moi Klaus Schwab, protégez-moi Pfizer. Ta démocratie n’était dès le départ que leur tube digestif par lequel ils veulent consommer et digérer le monde. Parce que dès le départ ta démocratie c’est la garantie de leur triomphe ultime. Parce que dès le départ tu as aimé les croire quand ils disaient que la liberté c’était d’être rendu enfin à soi-même, de pouvoir être simplement qui on est, libéré de toutes ces croyances et principes qui étouffent en toi cet être merveilleux, chatoyant au firmament des cieux : petit dieu ivre de lui-même. Alors que la liberté est toujours une conquête, l’œuvre au noir de l’effort humain, la difficile extraction de soi-même hors de cette boue, de ce chaos qui palpite en nous, le douloureux asservissement de nos passions et pulsions infrahumaines : soumission à la réelle destination de notre nature humaine qui nous appelle à devenir les serviteurs de Dieu, de notre nation, de notre famille. La démocratie, si elle est réellement possible, ne peut être que le régime des hommes marchant vers la sainteté et non pas des êtres rampants aux pieds de leurs pulsions comme on t’y exhorte, retournant comme les chiens à leur vomi. Tu n’as plus le choix petit peuple ! Soit tu crèves dans les cages numériques, vaccinales où les puissants veulent te reléguer, soit tu renais et détruis cette fausse démocratie en te mettant à l’école des saints. C’est là le seul espoir en ce monde qu’il te reste !
Arrête de pleurnicher petit peuple!
- Post author:jgunzinger321
- Post published:avril 1, 2021
- Post category:Le globalisme / Totalitarisme