Les vaccinolâtres en folie (1)

Réponse au courrier de lecteur paru dans le Quotidien jurassien de Joël Affolter A vous lire, monsieur Joël Affolter (cliquez ici), ce serait par pur souci de confort personnel que des personnes s’ opposeraient au pass sanitaire, notamment en manifestant ? Il fallait l’oser celle-là, puisque leur opposition leur vaut tous les inconforts imaginables. Je ne sais pas si vous avez suivi les informations depuis 3 semaines, mais un pass a été imposé pour l’essentiel des activités sociales, sportives et culturelles et parfois même dans le cadre des activités professionnelles. Ce pass a été imposé parce que selon nos grands stratèges gouvernementaux, c’est en prenant pour cible le confort des citoyens et leur source de revenue qu’on obtiendra d’eux qu’ils cèdent et se fassent injecter un produit expérimental qui a déjà fait de nombreux dégâts. Les injectés le font donc toujours davantage sous la pression des stratégies scélérates des autorités afin de ne pas être trop atteints dans leur vie professionnelle ou leur confort de vie. Vous êtes donc totalement à côté de la plaque en faisant aux opposants un procès en égoïsme ou en les traitant d’enfants gâtés. Eux se battent au mépris de leur confort immédiat, voire de…

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Quand des journalistes jurassiens se noient dans leurs incohérences(2)!

Pierre-André Chapatte, qui depuis des lustres nous assène des éditoriaux tous plus confondant de politiquement correct et de partis pris globalistico-écolo compatibles, a chaussé une nouvelle fois ses lunettes déformantes pour nous présenter sa vision des opposants aux mesures sanitaires dans son éditorial d'aujourd'hui. Nous y apprenons que la plupart des mouvements opposés au pass et aux injections sont travaillés souterrainement par l’ultradroite (maman j’ai peur).Il sait y faire Pierre-André pour aligner au forceps les faits dans le sens de ses orientations idéologiques. Il opère par petites touches breneuses, se réfugiant derrière des faits tordus et parcellaires tout en égrenant son texte d’éléments de langage à charge contre les opposants aux mesures. Tout commence par des faits divers en Allemagne que l’on exploite au maximum pour arracher aux lecteurs une grimace à destination des opposants. Pensez, les opposants se mettraient désormais à ouvrir le feu sur de simples citoyens soucieux de faire respecter les mesures sanitaires! Ensuite Pierre André nous sort la grosse caisse pour accompagner le refrain du Reichstag, du Capitole et du Palais fédéral en danger. On ne peut, en le lisant, ne pas entendre de lointaines résonnances avec la propagande d’un régime assurément honni par le si…

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Quand des journalistes jurassiens se noient dans leurs incohérences(1).

Réponse à l'article de François Comte sur la manifestation de Delémont du 13 septembre 2021 intitulé : "Quand des masques tombent à la manif anti-pass" François Comte n’a pas aimé la manifestation de lundi. C’est peu de dire que sa sensibilité délicate de fin lettré en a été meurtrie, lui qui, d’entrée de commentaire, entend s’inscrire dans le sillage du grand écrivain Albert Camus, citant « Le premier homme » en la personne de Cormery, l’un de ses personnages : « Un homme ça s’empêche ». Tout son propos consiste a laissé entendre que les manifestants, par contraste avec Cormery, n’ont précisément eu aucune retenue dans l’abjection. L’objectif de notre fin lettré est donc de soutenir que les manifestants ont été déchus par leurs propos, actes, dénonciations de la qualité d’être humain. Intéressant procédé que voilà. Car si notre journaliste avait réellement quelques lettres, s’il n’était pas seulement un égreneur de citations, il saurait que l’exclamation de Cormery fait suite à l’affirmation de Levesque soutenant que les Fellaga avaient raison de couper les couilles des soldats français et de leur fourrer dans la bouche, car c’est ainsi que les hommes auraient à agir. Cormery s’en indigne pour lui rétorquer :…

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Les humoristes de cour(4)

Réponse à Jérôme Mouttet qui s'est moqué des manifestants de la place de la gare sur RFJ (cliquez ici pour ce grand moment d'esprit ). Salut Jérôme, j’aime tellement Lucchini que j’en suis au point, lorsque tu te sers de sa voix pour ricaner des manifestants de lundi de la place la gare, d’avoir spontanément (*) envie de revisionner un de ses films. Faut dire que t’as un talent d’imitateur certain. Cela dit se servir de lui pour lui faire dire des choses qui lui foutraient la gerbe, je trouve ça pas chouette de ta part, ça me chagrine pour lui. Lui a une maitrise certaine de la sémantique et des différents niveaux de langage et il ne lui viendrait jamais à l’idée de tirer prétexte de la définition de la spontanéité dans son sens le plus plat, valable à la rigueur pour certains actes psychologique ou biologique, pour faire entrer dans ce corset étroit son sens politique. Tu crois franchement que les manifestations dénonçant l’ogre Poutine en Russie, comptant des dizaines de milliers de personnes, auxquelles les médias dominants collent souvent l’étiquette de spontanée ne font jamais l’objet de préparation en amont, de communication sur quelques jours ? De…

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Quand des journalistes se noient dans leurs incohérences (1)

Réponse à l’article de François Comte de RFJ sur la manifestation du 13 septembre à Delémont, intitulé « Quand les masques tombent à la manif anti-pass. » François Comte n’a pas aimé la manifestation de lundi. C’est peu de dire que sa sensibilité délicate de fin lettré en a été meurtrie, lui qui, d’entrée de commentaire, entend s’inscrire dans le sillage du grand écrivain Albert Camus, citant « Le premier homme » en la personne de Cormery, l’un de ses personnages : « Un homme ça s’empêche ». Tout son propos consiste a laissé entendre que les manifestants, par contraste avec Cormery, n’ont précisément eu aucune retenue dans l’abjection. L’objectif de notre fin lettré est donc de soutenir que les manifestants ont été déchus par leurs propos, actes, dénonciations de la qualité d’être humain. Intéressant procédé que voilà. Car si notre journaliste avait réellement quelques lettres, s’il n’était pas seulement un égreneur de citations, il saurait que l’exclamation de Cormery fait suite à l’affirmation de Levesque soutenant que les Fellaga avaient raison de couper les couilles des soldats français et de leur fourrer dans la bouche, car c’est ainsi que les hommes auraient à agir. Cormery s’en indigne pour lui rétorquer :…

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